- Jospin a chouchouté les bas salaires (smic)
- Chirac a privilégié les 500 000 plus fortunés (plus de 297660 €) alors que les plus faibles les ont vus augmenter
- Sarkozy a baissé les impôts surtout… des riches rentiers.
http://www.leparisien.fr/reactions/economie.php?article=impots-qui-jospin-chirac-et-sarkozy-ont-ils-vraiment-favorise-03-04-2012-1937308
Voilà bien la plus grande mystification de l'histoire politique !
Je ne comprendrais sans doute jamais pourquoi les pauvres votent à droite, en sachant qu'un gouvernement de droite ne favorise toujours que ses amis, ceux qui payent leurs campagne...
Je précise, car on l'oublie vite, que le salaire médian est de 1500 € par mois et que 80 % des français gagnent moins de 2000 € par mois : c'est nous, les pauvres ! Et on est 80 % !!! Comment la droite peut-elle gagner des élections alors qu'elle bosse pour les 20 % restant ?
Je ne souscrit pas du tout à la théorie des miettes : plus le gâteau est gros pour les riches, plus les miettes sont grosses pour les pauvres ! C'est une aberration économique, politique et morale ...
Certains peuvent trouver normal qu'un patron gagne 300 fois le SMIC (bosse-t-il 300 fois plus que ces salariés ???), qu'un footballeur ou un chanteur gagnent 100 fois plus qu'un médecin ou un chercheur (que font-ils pour la société ?), qu'une femme soit assez riche pour ne pas savoir qu'elle possède une ile... Je trouve que c'est la preuve de la décadence de notre société. Quand la stupidité et l'image valent 100 fois plus que l'intelligence et le courage ! (quand vous aurez un cancer, vous pourrez toujours regarder un match de foot à la télé en écoutant Johnny ...)
On me dit souvent que sans patron, il n'y aurait pas de salarié ... C'est vrai ! Mais on ne pense jamais que le contraire soit aussi vrai... Et à votre avis, il est plus facile de trouver une personne à qui on propose un salaire mirifique ou 100 000 personnes avec un salaire de misère ?
C'est tellement absurde de croire que les grands patrons sont irremplaçables ! Ils sont tellement parfait qu'ils n'ont pas vu venir cette crise et que ce sont les états qui les ont sauvé (c'est à dire nous !)
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